Diplômé d’un Master I en Médecine Vétérinaire à l’Académie vétérinaire de Kiev (Ukraine) en 1993 et d’un Master II en Epidémiologie Vétérinaire à l’Institut de Médecine Tropicale « Prince Léopold » Anvers (Belgique) en 2007, Vincent Michel a débuté sa carrière professionnelle dans la vente et la distribution de médicaments vétérinaires à Madagascar.

En 1998, il rejoint les services de santé publique vétérinaire et travaille sur la surveillance des maladies animales et des zoonoses. Il débute avec un poste d’animateur du réseau d’épidémiosurveillance des maladies porcines à Madagascar, puis devient tour à tour Chef de Division de surveillance des maladies animales à Madagascar et Chef de Services de Lutte contre les maladies animales à la Direction des Services Vétérinaires en 2006.

Sa collaboration avec le Cirad a commencé en 2008 dans le cadre du Pôle de Compétence en Partenariat – Santé Animale (PCP-SA) impliquant le Département de Recherches Zootechnies et Vétérinaires (DRZV) et la Direction des Services Vétérinaires (DSV), dont il est le représentant. Depuis lors, les liens avec le Cirad n’ont cessé de se renforcer grâce à l’implication de Vincent Michel dans plusieurs réseaux de recherche et projets de coopération dans l’océan indien portés par le Cirad en tant que :

• Point Focal malgache pour le réseau QualiREG
• Membre du groupe de travail « Surveillance et innovation » du Dispositif de recherche et d’enseignement en partenariat (dP) One Health OI 
• Membre du groupe de réflexion de Madagascar du réseau « Inter-Crost » dans le cadre de la plateforme PréRAD

En tant que Point Focal malgache et représentant de la Direction des Services Vétérinaires de Madagascar au sein du réseau QualiREG, sa mission principale consiste à être un relais entre le réseau et les acteurs malgaches impliqués dans le secteur agroalimentaire et d’identifier et de faire remonter les opportunités et besoins existants dans son pays. Son implication dans QualiREG lui permet aussi de fournir à la DSV des informations pertinentes (issues d’études, de projets de recherche…) afin d’évaluer – et d’adapter si besoin - leur stratégie de veille sur la qualité des denrées alimentaires d’origine animale.